Prise de note lors de l’AG du 6 juin 2015
Merci à Emmanuel Château pour la prise de note, disponible ici (NB : il ne s’agit en aucun cas du compte-rendu officiel)
AG AHA 2015-06-07
Bilan moral
Bilan moral au bout de 6 mois de fonctionnement de l’association créée l’année dernière.
Association qui roule dans la mesure où le compte bancaire est ouvert, l’association dispose d’une domiciliation effective, et d’un site internet.
Un bref rappel sur la gouvernance de l’association, l’AG avait opté pour une gouvernance ressérée d’un bureau de 5 membres, rappel des membres élus.
Par ailleurs l’association a lancé un certain nombre de projets, dès avant sa création. Plusieurs groupes de travail ont été mis sur pied :
– revue
– communication internet
– organisation manifestation sur la discipline.
Le Bureau propose d’organiser les futures AG en juin afin de pouvoir la coupler avec une grande manifestation qui serait organisée chaque année aux beaux jours. C’est cette considération qui nous conduit à vous proposer de vous prononcer sur un prolongement de 6 mois du mandat de l’équipe actuelle afin de caler le calendrier de l’association sur l’année universitaire.
Pour le moment, l’intégralité du financement de l’association est issu des cotisations, ce qui implique un cash flow relativement limité malgré déjà une 100 aine de membres inscrits. La liste Philibert nous donne un ordre de grandeur concernant l’audience potentielle de l’association au-delà des adhérents de 400 personnes.
Groupe de travail
Un premier logo pour l’association a été dessiné par Jean-Philippe Garric. Bien que nous disposons, de peu de fonds, nous pourrions discuter de l’adoption d’une charte graphique.
Groupe de travail dirigé par Carmen Popescu.
Faux-procès de l’histoire de l’architecture : l’histoire de l’architecture doit-elle survivre ? sur une idée Nicolas Bisenssan
APAHAU Arnaud Pierre présent, AFHC
Doit encore prendre contact avec les associations suivantes Association ACMH, GHAMU, Association conservateurs régionaux du patrimoine culturel (ACRI), ICAM, ICOMOS-France, EAHN.
Contact pris avec l’Académie d’architecture,
Soutien fort de l’INHA qui nous accueille dans ses locaux, un soutien vital pour l’assocation auquel ne peut que rendre hommage. L’association a également reçu une très bienveillante association de la part de la Cité de l’architecture qui se propose
On soumet le rapport moral au vote
0 abst
0 contre
Adopté unanimité
Bilan financier
L’association actuellement de 105 membres
1740 euros de recettes
Démarches
435, 91 euros dépenses : dépot statuts, achat noms de domaines et hébergement, organisation AG.
Exercice excédentaire.
Solde auquel s’ajoute les 5 608 euros des actifs de l’ancienne AFHA = 6680 euros.
Actifs de l’AFHA exceptionnel, recettes de
Soumis au vote
0 abst
0 contre
Le rapport financier est adopté à l’unanimité.
Président de l’APAHAU, Arnaud Pierre
Des liens entre historiens d’architecture et historiens d’art, espère d’ailleurs que la création de l’association n’enlèvera pas trop de membres à l’APHAU !! Mais aussi, pourquoi pas que cela suscitera des adhésions conjointes.
Un annuaire électronique depuis plusieurs années, projet d’en refaire une édition papier l’année prochaine.
Nombre d’adhérents de l’association trop limité par rapport au potentiel de l’association. Vient de parvenir à la tête de l’association, continue sur la lancée d’Olivier Bonfait son prédécesseur qui continue de s’occuper du Blog et de la circulaire. Présence sur le web qui rend finalement mois utiles les réunions d’assemblée comme celle d’aujourd’hui.
Voudrait insister sur le rôle de support d’une revue d’érudition ouverte aux publications de jeunes doctorants ou de jeunes chercheurs, la Revue histoire de l’art. Voudrait voir dans quelle mesure lier la cotisation à l’abonnement de la revue afin de renforcer le rôle scientifique de ces associations. Rôle que vous vous aprêtez à prendre vous aussi par la création d’une revue. Questions du format de la revue (papier ou web) qui sont rediscutées régulièrement, expérience du Cahier du Musée d’art moderne, qui me laisse penser que ne doit pas jouer le papier contre l’internet.
JBM intéressant que l’APAHAU du côté de l’université tandis que l’AHA à cheval entre l’université et écoles d’architecture.
Par exemple appel lancé à l’occasion du festival d’histoire de l’art poru constituer une réseau de solidarité avec les collègues du Moyen-Orient qui pourraient être amenés à fuir les combats ou les persécutions en les accueillant, dans la mesure du possible, provisoirement dans nos institutions.
Il est proposé à l’association de
Christopher Drew Amstrong membre de la SAH propose de prendre contact avec l’association américaine.
Claude Laroche chercheur inventaire, président de l’APIG, association des personnels de l’Inventaire général qui existe en plus de l’ACRI. Chaque année une assemblée générale pour échanger sur les perspectives du métier et autour d’un terrain d’étude. Ici encore, pourrait mutualiser nos actions.
Un annuaire des personnels de l’inventaire que pourrait également partager.
JBM Si l’on s’oriente vers l’organisation régulière d’un congrès, pourrait tout à fait si vote de l’association en ce sens s’organiser conjointement avec l’ACRI et l’APIG.
Carmen Popescu : Membre du bureau de l’EAHN, mais parlera tout à l’heure.
Anaïs Bornet, secrétaire du Ghamu présente dans la salle, contact sera pris
Philippe Grandvoisiner, Association des architectes des bâtiments de France, réseau de 150 membres, revue “La pierre d’angle”. Pense que coordination à trouver. Sadia ?? présidente, ABF Seine-Saint-Denis.
Site Web et communication
Léonore L : Comme il n’y a pas de CA, l’Assemblée générale a plus de pouvoir.
Montrer ce qui a été fait, intéressant de partir des associations sœurs car considère dans le groupe communication notre travail comme fédération de l’ensemble des initiatives. Considère donc que chaque membre de l’AHA est un membre de la commission communication. La communication de l’association est aussi un travail de fonds, et un moteur sur lequel les personnes présentes en région auront un rôle à jouer. Il faut en effet veiller à ne pas centraliser les choses sur Paris, mais travailler à communiquer entre nous dans une logique pour faire émerger la discipline.
Premier site internet mis en ligne, propulsé par WordPress.
Encore un site provisoire, plusieurs éléments vont évolués à l’avenir. À cet égard, vos remarques sont bienvenues.
Quelques éléments mis de côté comme le fait de produire une bibliographie d’histoire de l’architecture car ce travail est conduit par ailleurs (archiscopie), de même une cartographie de l’histoire de l’architecture tandis que l’INHA dispose de cela. Et également mise en ligne d’offres d’emploi ou d’annonces, cela nécessite une veille très importante qui pouvait faire doublon avec la liste Philibert. Il est important de voir que la récupération et la mise en ligne de toutes ces données ne peut reposer seulement sur le webmaster, il convient à tous de faire remontrer les choses vers le bureau.
Rubriques telles qu’envisagées pour le moment
– L’association
– Actualités qui sera destinée à accueillir (association et discipline)
– Recherche
Annuaire qui sera par la suite affiné avec un moteur de recherche.
Merci den renseigner vos fiches.
Quelle place accordée à la liste de diffusion ?
Réfléchir à la présence de l’association sur les réseaux sociaux : facebook, twitter
Intérêt de Twitter pour viser un public plus large. Public plus académique.
Facebook plus utile pour toucher un public d’étudiant car très répandu chez les étudiants. De ce point de vue twitter pas forcément bien. On peut donc dire pour les étudiants en M1 de les adresser vers Facebook. Si choisit d’y aller, prendre le temps de faire de l’animation communautaire.
Forums participatifs et plateformes d’échange.
L’idée est que l’association puisse être ouverte aux jeunes doctorants et étudiants. On pourrait créer un forum sur le site.
Un forum : permettrait d’assurer le suivi des discussions pour les groupes de travail de l’association en permettant de solliciter les retours de l’association. Pour cet usage, disposer d’un forum sur le site de l’association. Facebook pourrait être utilisé quant à lui pour la communication externe de l’association.
La commande d’un logo présente un certain coût, toutefois le fait de disposer d’une identité graphique est un élément fondamental pour une communication de l’association. Un élément de reconnaissance, possibilité d’élaborer des supports imprimés, etc.
Guy : héritage de l’ancienne AFHA, élaboration d’un logo compte tenu de l’importance de l’investissement, peut puiser dans les ressources transmises par l’afha.
Lancer concours de logo
Propose de lancer un concours interne pour le logo, et si le résultat est sans succès cherchera une solution pour financer les services d’un graphisme.
Essaye un forum sur le site.
Tente Facebook, Twitter et le Forum
Pour l’actualité, voudrait proposer à Calenda de créer une rubrique Histoire de l’architecture et leur prêter main-forte pour l’administration et assurer à partir de là la repris des informations sur le site de l’association.
Manifestations scientifiques
Carmen Popescu (responsable du groupe) présente la vision de celui-ci sur la manière d’articuler les manifestations scientifiques au sein de l’AHA, ainsi que le projet pour des premières rencontres qui pourraient avoir lieu en février 2016.
Au début du travail, le groupe a beaucoup discuté du type de manifestations scientifiques à organiser (colloque, ou ateliers, voire tables-rondes . D’emblée, l’idée était de rester ouvert à différentes formats, avec peu de voix qui ont privilégié l’idée d’un colloque, craignant à la fois que la tâche pourrait s’avérer trop lourde etque le format ne laisse pas suffisamment de place pour le débat. Le groupe est arrivée à la conclusion d’organiser une manifestation sous forme d’atelier qui conservent une certaine ouverture.
Aussi, il s’est posé la question de participants à cette manifestation: dimension nationale ou internationale? La possibilité d’organiser une manifestation internationale était séduisante pour pouvoir échanger avec des collègues et des associations à l’étranger. Mais en envisageant la question du contenu, on a considéré qu’il était probablement préférable de commencer par l’organisation d’une manifestation française en invitant quelques personnalités étrangères, en remettant à une étape ultérieure une manifestation internationale.
Concernant le contenu, celui-ci a été préfiguré, en grandes lignes, avant même la recréation de l’association, comme un des buts de sa ressuscitation. Christine Mengin ayant suggéré de discuter autour du livre d’Andrew Leach, What is architectural history, nous avons eu envie d’élargir la réflexion à la situation de la discipline en France et la soumettre à notre communauté pour en débattre. En s’arrêtant ensuite sur ce choix, la commission a considéré qu’il demandait un format plus ouvert – de type groupage d’ateliers et tables-rondes – qui paraissait être plus à même de répondre à la volonté du débat.
Organiser une manifestation qui regrouperait des ateliers et des tables rondes, l’idée était de pouvoir matérialiser les buts de l’association. Aussi il pourrait être intéressant de pérenniser ces rencontres. La commission à analysé ensuite la manière par laquelle on pourrait assurer un cadre qui consoliderait le socle sur laquelle elle s’est formée l’association. Ainsi, il a été discuté, d’un côté, de pérenniser le format des rencontres ouvertes, regrpoupant ateliers et tables-rondes, et d’un autre, d’organiser entres ces manifestations annuelle des ateliers ponctuels. Dans ce sens, un appel à proposition a été préparé en vue des premières rencontres: il couvre un champs suffisamment large pour conserver un certain nombre de propositions pour en faire des ateliers ponctuels qui permettraient de rythmer l’intervalle jusqu’à la prochaine encontre. Ceci onstituerait ainsi une solution pour aller plus loin dans la réflexion sur certaines questions et de mobiliser d’autres personnes. Un autre intérêt concernant ces ateliers ponctuels pourrait être de les organiser en région : une possibilité concrète d’inscrire le travail en région.
Projet pour les rencontres de février 2016
Pour débuter ce cycle de rendez-vous, nous avons pensé de commencer avec la question de la situation de notre discipline aujourd’hui. Et pour profiter de la présence de l’EAHN à Paris à l’occasion de sa réunion de travail annuelle, on a pensé qu’il pourrait être très intéressant de pouvoir articuler notre premier rendez-vous avec cet événementiel.
L’idée de se réunir à Paris a été décidée pour fêter les 10 ans de l’EAHN. La réunion intervient tous les ans en février et est accompagnée par un événement scientifique. Ainsi, le groupe de travail qui s’occupe de l’accueil de l’EAHN est en train de réfléchir à des possibilités – on avait pensé qu’il serait très intéressant de disposer d’une présentation de EAHN pour une demie-journée afin d’engager un dialogue avec notre communauté. Par ailleurs, pour créer le dialogue fructueux que nous souhaitons engager sur le plan international, on pourrait profiter de leur venue à Paris pour avoir des membres de l’EAHN dans chaque atelier des Rencontres AHA.
Propositions
– pérenniser rencontres
– valider appel 2016
– valider organisation manifestations jointes avec EAHN (jeudi et vendredi tout début mars)
– Premier épisode // au buisness meeting EAHN
– Regroupement manifestations scientifiques de l’AHA autour AG annuelle = organisation en juin
– Puis pérennisation de ces rencontres à partir de juin 2017
Anne-Marie Châtelet: comme nous sommes tous très sollicités, peut-être se mettre d’accord sur l’organisation de manifestation groupées de manière annuelle et de ne pas multiplier les événements au cours de l’année. Un des membres de l’AHA pense qu’il serait efficace de rythmer l’intervalle entre deux rencontres par d’autres manifestations scientifiques. Carmen Popescu: on pourrait tester l’idée d’ateliers ponctuels suites aux Rencontres de février 2016 – puis voir comment on peut monter en puissance tranquillement sans se poser des contraintes qu’on ne serait pas capable de tenir.
Est-on d’accord pour grouper toutes les manifestations chaque année ?
Depuis un an au sein de Paris-Malaquais ont entamé une réflexion historiographique (9 enseignants) sur le point de lancer une ou plusieurs journées d’étude sur le thème “qu’elle histoire faisons-nous”.
Déjà 4 ou 5 réunions, lancement à la rentrée ou premier semestre 2016 : mais exactement les mêmes questions.
Carmen Popescu: on pourrait très bien coordonner les deux événements. Jean-Baptiste Minnaert: c’est une question de phasage : nous étions partis en février prochain de la cas du business meeting de l’EAHN. Votre rencontre à Malaquais en septembre suivant. Et nous pourrions continuer en juin 2017. Caroline Maniaque: le problème c’est que c’est le même sujet. Si organise une telle manifestation dans les écoles d’architectures, ne va pas commencer à atomiser la discussion.
Jean-Philippe Garric : on avait organisé avec Frédérique Lemerle Pauwels une journée d’étude co-organisée entre CESR et Malaquais. Une journée bien identifiée dans un lieu, et l’autre plus tard ailleurs. Propose de faire un couplage des deux en travaillant sur des thématiques complémentaires.
L’appel à propositions de paris Malaquais est prévu pour le 30 juin.
Carmen Popescu propose de prendre contact pour en parler.
Richard quand au thème dont il est question, espère que d’autres réunions auront également lieu d’ici 2016 sur ces questions là. En soi pas de problème qu’il y ait des réunions qui aient lieu sur ce thème là.
Claude Laroche, met en garde sur le mois de juin qui est une période difficile pour tout le monde.
Si on se met d’accord sur l’organisation d’une journée annuelle, à quelle date la caler ?
– 3e semaine de septembre ?
– juin
– 1ère semaine de juillet
Mai festival d’histoire de l’art
La question se pose aussi pour l’APAHAU, l’idée a été de se greffer sur le festival d’histoire de l’art. Techniquement problématique car tous les hôtels bookés 4 mois auparavant.
Nicolas Bisensang: présente sa proposition d’un faux-procès de l’histoire de l’architecture
Forme du procès qui pourrait permettre de s’éloigner du mode de communication académique et explorer des formes de réflexion autres. Par ailleurs renforcer la visibilité de la discipline et favoriser la diffusion de la connaissance.
Formes académiques qui ne permettent que de parler à nous-même. Cherché à penser formes de discussion qui permette d’ouvrir à des personnes de la société civile.
Proposition du procès même permettrait d’inclure des publics autres, car dans la composition de la cour pourrait inviter un vrai magistrat. Rôle de l’avocat général (du diable) de la discipline elle-même ?
Composition du jury dont la composition pourrait être plus ouverte. Obligerait l’argumentation à s’adapter à ce type de public pour administrer la preuve autrement. Pourrait aussi inclure des membres plus proches de notre discipline avec des architectes, etc.
Dans le déroulement du procès, on serait également obligés de faire venir des témoins à charge ou à décharge. Ici possible de faire venir des têtes d’affiches pour attirer un public plus large.
Groupes accusation et défense qui pourraient être recrutés dans l’association même. Qui serait intéressé pour intégrer ces groupes.
Instruction qui pourrait se dérouler sous la forme d’un procès : établir le nombre de doctorant, faire un état des lieux comparatifs, travailler sur l’historiographie et pour chaque partie faire venir ses témoins à charge et à décharge.
Calendrier prévisionnel
Avant rentrée 2015 constitution des parties,
Automne 2016 procès.
Si voté constituer comité scientifique de la scénarisation de ce procès.
Nicolas a eut l’idée en ne sachant pas qu’existait déjà. Cf. faut-il sortir de la ville à la Cité de l’architecture. Ou il y a quelques années Centre Georges Pompidou.
Emmanuel Chateau : exemple des non conférences sur les DH
Richard : Se pose la question des sous-entendu. Ne pense pas que les sous-entendus soient partagés à l’extérieur.
JPG : Trouve que l’idée d’adopter une forme innovante originale paraît utile. Plutôt la question posées, n’intéresse que les historiens de l’architecture. Et va dans une direction qui consiste à adopter une attitude victimaire. Pense beaucoup de bien de cette association sauf position qui consisterait à se considérer assiéger et de se serrer les coudes entre soi.
Chistropher Drew Amstrong : Une question d’attitude. Qu’est-ce que l’histoire de l’architecture apporte à différents publics. Étudiants, etc. Il faut adopter une position très positive.
Carmen Popescu : Au départ, au sein du groupe manifestations scientifiques se posait la question de savoir si devait aller dans cette direction pour le sujet au-delà de la forme. Pense que peut être très riche et stimulant mais que le fait de ne pas pouvoir avoir de débat me pose un problème.
?? Mot “faut” qui me pose un problème. Peut poser la question autrement : est-ce que le fonctionnement est bon. Ce n’est pas la question de l’histoire de l’architecture. Mais le fonctionnement actuel face au présent.
Garric : Pourrait poser la question est-ce que l’histoire de l’architecture existe. Au fond, la même question !
Anne-Marie Châtelet : N’arrête pas d’organiser des colloques sur ce que l’on est et de quoi on parle. Autant je souscris à la forme dynamique d’un faux procès, mais va devenir fou à se poser la question de pourquoi en faire.
JBM : Séduit par la forme très dynamique et notamment au fait qu’un doctorant qui la porte. Très clair que si doit avoir lieu, besoin de toute une équipe. D’autres personnes sont-elles prêtes à prêter leur concours au projet, quitte à redéfinir le contenu.
Nicolas : du point de vue du public, il me semble que la forme beaucoup plus ouverte au grand public que la forme du public. Quelque chose ici qui se rapprocherait beaucoup plus de l’écriture théâtrale car il y aurait une scénarisation.
Sur la question et son caractère victimaire : l’idée était surtout de proposer des pistes pour s’armer dans un environnement beaucoup plus difficile pour la recherche publique et le financement. Trouver des arguments pour les économistes, ou etc.
Question du matérialiste de la question : se place déjà du côté de la défense.
JFG : d’accord sur l’idée qu’une discipline ou un groupe d’intérêt cherche à faire avancer ses idées. Je pense que la meilleure manière de défendre ses idées, de se rendre désirable.
En mettant en avant nos craintes ou les soi-disant problèmes que rencontre la discipline, ne fait que l’affaiblir. Effet inverse car montre à notre environnement que se perçoit en danger. La dernière chose à faire car d’une part idée que contours flous inexacts. Si regarde derniers recrutements dans les écoles d’architecture pas plus mal que le cinéma et la photographie ou l’histoire de l’art moderne. Arrêtons de faire circuler cette idée car pas le cas.
Catherine Monny ? Discutait avec Richard, question où évolution de la profession de l’architecte où très intéressant de se repositionner. Travail sur bâti existant, territoire et où l’histoire beaucoup plus mobilisée dans le projet que ne l’était il y a quelques années. Important de penser à ça car notre rôle en tant qu’enseignants réfléchir à notre positionnement.
Enterre ou reformule ?
Conserve-t-on la formule procès ?
Le meilleur moyen de défendre l’histoire de l’architecture, c’est d’en faire.
Nicolas, Léonore, Emmanuel, Amandine, Stéphane Dadour, JB se joignent à Nicolas pour reformuler et proposer quelque chose.
Revue
JP Garric: Un groupe a travaillé au projet d’une revue d’histoire de l’architecture. Va présenter la méthode suivie, un état des lieux puis un jeu.
On a procédé relativement lentement, 5 réunions. On a commencé par se poser la question du contenu avant de résoudre la question des moyens techniques ou financiers. On a donc considéré que le plus difficile trouver le contenu.
Arrivés à retenir une formule qui est relativement standard aujourd’hui, celle de la publication d’une revue en ligne sur revue.org, en conservant à l’esprit que des partenariats externes avec des revues existantes pouvaient avoir lieu, et que dans certains cas particuliers on pourrait développer des numéros papier. Production de numéros thématiques. Possibilité de trouver des moyens de production récurrents pour une revue. Et modalités de production au cas par cas en fonction du thème de tel ou tel numéro s’appuyant sur des équipes ou des sponsors. Numéro thématique à la fois moyens pour faciliter rassemblement des textes ou des contenus.
Rappel des participants
Une commission assez large même si tout le monde n’a pas pu participer à toutes les réunions. En tous les cas indique que ce groupe pourrait fonctionner comme un Comité éditorial ou un Comité de lecture pour coordonner les numéros avec des partenariats externe.
Comité qui se doterait d’un bureau exécutif et se doterait de collaborateurs externes pour des relectures d’articles.
Sept numéros thématiques soit projet élaboré avec résumé, soit simple intitulé.
Laurent Baridon, Valérie Nègre et Antoine Picon : matérialité et matériaux.
Espaces confinés et surveillance dans l’histoire de l’architecture
Richard Klein à quoi sert l’histoire de l’architecture auj
Guy Lambert Dérision en architecture
Déclinaisons architecturales (question des produits dérivés, image architecturale sur autres supports)
L’œuvre architecturale temps
Pierre Pinon Histoire de la profession
Modèle qui consiste à prendre les thèmes tels qu’ils arrivent et à les discuter avec les personnes qui les ont proposé pour les redéfinir. Certains parvenus dans un format déjà prêt pour appel à publication.
Comme processus long. Lancer simultanément plusieurs projets pour voir les choses se développer avec leur temporalité propre.
Pour entrer dans Revues.org 4 numéros au préalable. Donc engager un processus qui nous permette de nous engager, même si c’est assez lentement, mais avec la lenteur nécessaire à produire un processus solide.
Si la démarche vous convenait, un jeu :
Comme le logo, pb du titre.
Appel à proposition de titre.
Pour le moment, on n’a pas envisagé une revue payante, peut-être car ne s’est pas posé la question. Mais si on me la pose, aurait plutôt tendance à privilégier quelque chose de gratuit.
Guy c’est peut-être le moment d’évoquer la question de la cotisation de l’association : augmenter la cotisation des membres à 30 euros au lieu de 20, et 15 euros au lieu de 10 pour les étudiants. Même s’il est clair que même en augmentant les ressources avec une augmentation des cotisations, ne suffira pas à financer la revue. On sait que le financement récurent de l’association ne suffira pas à financer la revue. Pour autant on est plusieurs à avoir l’expérience d’être capable de financer des volumes particuliers. L’idée serait de pouvoir aller chercher des financements pour les numéros.
Si la revue tourne, peut aussi escompter des rentrées sur les ventes de la revue.
Concernant la revue même si assez simple de publier revue de manière électronique, nécessite conserver compétences sur la durée.
Idée de disposer plusieurs rubriques, brèves, compte-rendus, et articles hors thèmes pour ne pas fermer la porte à des apports qui n’entreraient pas dans les dossiers thématiques. Implique donc qu’outre les responsables de numéros, des responsables de rubriques qui assurent la surveillance.
Pour ce qui concerne l’editing, trouver des moyens pour financer secrétariat de rédaction. Pour gestion des aspects techniques sur la durée, il faudra des compétences éditoriales qui se retrouvent et qui se transmettent. Voit bien qu’en tous les cas on n’a pas d’entrée de jeu les moyens de mettre en place une équipe éditoriale complète.
Concernant la périodicité, pour revues.org au moins deux numéros par an.
Qqun cite métro politiques.
Question de rendre caduc question périodicité
Discussion du groupe qui ont conclu que besoin d’une revue scientifique.
Anne-Marie Thématiques qui pourraient faire l’objet de tables rondes à l’occasion des congrès pour être l’occasion d’un partage et d’une discussion dans l’association.
JPG : De plus en plus tendance à trouver intéressant de discuter d’abord puis formaliser. Possibilité d’articuler avec présentations dans les deux sens, très intéressant.
Paul Quintran, Académie d’architecture
grande héritière de la Société centrale qui conserve des archives. Si accueille de brillants architecture, une vision qui considère que l’architecture est pratique mais aussi objet de connaissance. Ainsi un programme d’action qui comprend le prix du livre, prix de thèse. Aussi au cours d’une discussion avec votre président a évoqué collaboration possible en termes de relai d’information.
Tous les ans, l’académie organise une manifestation. Cette année, la manifestation sera orientée sur nos trésors et nos archives, nous allons sortir de nos caves et de nos tiroirs quelques trésors. Du 12 au 16 octobre exposition qui présentera les trésors de l’académie. Pendant cette semaine deux colloques : un premier colloque intitulé lecture d’histoire en hommage à Joël Sakarovitch, et une journée d’étude consacrée à une observation sur la lecture de nos archives dans laquelle invite tous ceux qui ont travaillé sur nos archives à évoquer leur apport.
Communique l’annonce de la manifestation et appel à communication. Réunion le 18 juin au matin pour réunir comité pour l’exposition auquel vous êtes invités. Pour nous le problème de l’histoire de l’architecture ne se pose pas. N’avait pas conscience que cela constituait une question et que l’histoire de l’architecture puisse être en danger.
JBM : Remercie, important que liens. Et crois savoir que des membres de l’association participerons au conseil scientifique de cette manifestation.
Vote sur l’augmentation de la cotisation.
Discussion sur la question.
Relicat issu d’une publication non parue.
Carmen, pas posé la question du financement des rencontres.
Pour le moment surtout travaillé à mettre en route l’association. Mais pas encore engagé de démarche spécifique pour obtenir des subvention. Attente que les projets se consolident pour pouvoir démarcher des bailleurs.
Projet
Vote mandat pour revue
Adopté
Vote prolongation bureau jusqu’à juin
Adopté unanimité
L’AG se termine par un pot puis par la conférence de Panayotis Tournikiotis, Professeur au Polytechnikon d’Athènes : “Le stade du miroir, ou la construction rétrospective du Parthénon à l’âge de l’histoire de l’architecture.”